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En Côte d’Ivoire, le président de France Volontaires renforce les partenariats et explore de nouvelles pistes de coopération

La mission a débuté le lundi 30 juin par un petit-déjeuner d’échanges à la Résidence de France, en présence de Jean-Christophe Belliard, ambassadeur de France, de Mamadou Touré, ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique et de Thomas Cossé, directeur du réseau et des programmes de France Volontaires.

Ce premier temps fort a été suivi par une visite de l’Espace Volontariats et d’un point sur les activités et les chiffres clés de la dynamique du volontariat international d’échange et de solidarité en Côte d’Ivoire.  

Un déjeuner de travail a ensuite réuni l’équipe de France Volontaires et Laurent Bonneau, conseiller de coopération et d’action culturelle à l’Ambassade de France. L’occasion de souligner le rôle structurant de l’ambassade dans les coopérations opérateur-institutionnels et dans l’impact des missions de volontariat. 

L’après-midi, la délégation s’est rendue à Gonzagueville pour visiter l’association Imagine le monde (AIM), structure d’accueil de volontaires œuvrant pour l’éducation et l’accompagnement des personnes en situation de handicap ou en détresse psychosociale. Trois volontaires y sont actuellement engagés : Silonie, Léa et Thomas, envoyés par AIME ong. L’association s’inscrit également dans une dynamique de réciprocité, en envoyant des volontaires ivoiriens en France. 

Le mardi 1er juillet, la journée a débuté par une rencontre institutionnelle avec Dr Eugène Aka Aouélé, président du Conseil économique, social, environnemental et culturel, également président de l’Assemblée des régions et districts de Côte d’Ivoire (ARDCI). La délégation était accompagnée de l’équipe du Pôle Jeun’ess du Forum économique et social mondial, Fabrice Adelphe Balou et Valentine, VSI envoyée par IFAID. Était aussi présente la direction générale de la solidarité du ministère en charge de l’ESS en Côte d’Ivoire. Les discussions ont porté sur l’engagement des jeunes dans l’économie sociale et solidaire et les enjeux de développement local. 

La journée s’est poursuivie par un déjeuner d’échanges avec des membres de l’Équipe France : Maxence Delattre et Magali Kreitmann de l’Agence française de développement (AFD), ainsi que Alexandre Foulon, directeur pays d’Expertise France. Un temps d’interconnaissance riche en synergies.

En début d’après-midi une séquence sur le volontariat national et la réciprocité était programmé, elle a donné lieu à une rencontre avec Amara Coulibaly, directeur général de l’Office du Service Civique national, et son équipe, en présence de l’AFD. L’occasion d’aborder les programmes DENVA, C2D3 et les perspectives d’assistance technique avec France Volontaires.

Puis s’en est suivi, à l’Espace Volontariats de Mermoz, un temps d’échange avec les VIES, riche, ponctué de prises de parole témoignant de leur engagement, de leur épanouissement, mais aussi des difficultés rencontrées au cours de leur mission, et ont également permis la parole d’anciens volontaires ivoiriens ayant effectué un service civique en France. 

 

La journée s’est conclue par un cocktail rassemblant une soixantaine de personnes, réunissant les partenaires institutionnels et opérationnels, les VIES, les structures d’accueil et les membres de l’Équipe France, pour célébrer ensemble le volontariat et renforcer les liens de coopération. 

Dernière journée de la mission, le mercredi 02 juillet, rencontre avec la société civile : plusieurs structures d’accueil de volontaires, des faîtières et de l’équipe du SCAC, étaient réunis à la bibliothèque de l’association Des Livres pour Tousà Treichville, qui accueille actuellement deux volontaires : Milie envoyée par France Volontaires et Serena envoyée par Parcours le Monde. 

S’en est suivi d’une visite à Empow’Her, structure d’accueil de VIES à Abidjan. Actuellement, quatre VSI y sont mobilisés : Mélissa, Judickaël, Marie et Marie, envoyés par La Guilde, dans le cadre de projets dédiés à l’entrepreneuriat féministe. 

La mission de Guillaume Légaut et Thomas Cossé s’est clôturée par la rencontre avec Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie. Cette séance d’échange a permis de mettre en lumière la place centrale de la culture dans l’engagement volontaire, en espérant que ces discussions ouvriront la voie à de futures collaborations. 

 

[Marseille] France Volontaires au Delta Festival 2025

Retrouvez-nous au Monde des Possibles sur le Delta Festival 2025 ! Cet événement majeur accueille 150 000 festivaliers et met en avant différentes thématiques d’engagement tel que l’ouverture à l’international, la vie étudiante, l’entrepreneuriat, l’environnement, la santé, la culture, l’inclusion, le sport et les territoires. Ne manquez pas la 11ème édition qui s’annonce mémorable !

Du vendredi au dimanche , vous pourrez échanger sur notre stand partagé avec Business France, et avec les volontaires, autour du volontariat dans une ambiance musicale incroyable. Au programme, une fresque de l’engagement qui vous permettra de découvrir quel dispositif de mobilité solidaire est fait pour vous, une pétanque, un quizz sur le volontariat international d’échange et de solidarité internationale, une mappemonde pour vous projeter dans votre future mission de volontariat, et enfin une borne photo pour repartir avec un souvenir !

Le rendez-vous est pris au village Europe, Méditerranée & International !

À Solidays, un stand pour semer l’envie d’agir

Casquette vissée sur la tête, Demba observe un groupe de jeunes jouer à la « pétanque molle » sur la pelouse qui fait face au stand de France Volontaires. Quelques minutes plus tôt, il racontait à un petit cercle attentif son expérience de volontaire sénégalais en mission de réciprocité en France. Si l’ambiance est festive, certaines interrogations n’en restent pas moins profondes : « Moi je pensais que le volontariat, c’était un peu comme les stages à l’étranger, mais en fait c’est bien plus cadré, et surtout plus utile ! », s’exclame Lucie, tout juste 20 ans, venue avec ses amis du Val-de-Marne.

Des forêts à la francophonie, une myriade de volontariats

Placée à l’entrée du Village solidarité, l’équipe de France Volontaires a tenu son stand pendant les trois jours du festival, dans le sillage des concerts de SCH, Sean Paul ou encore Yelle. Si certains festivaliers s’arrêtent d’abord attirés par le photobooth ou ce fameux terrain de pétanque improvisé, ils repartent bien souvent avec des réponses à leurs questions -s’ils en avaient en tête – et parfois avec une étincelle de projet en germe.

« Est-ce qu’il y a des missions quand on n’a pas encore de diplôme ? », demande une adolescente. « Et moi, si j’ai plus de 30 ans, je peux quand même partir ? » À chaque question, un ou une volontaire répond, explique, encourage. Parmi eux, des jeunes envoyés en mission par AIME, Life Project for Youth, le Service de coopération au développement, La Guilde ou via le programme Territoires Volontaires, tous présents pour faire vivre le stand et incarner la diversité des parcours. Car c’est aussi ce qui frappe les visiteurs : le volontariat international, ce n’est pas un seul chemin, mais une myriade d’itinéraires solidaires, adaptés à chacun.

© France Volontaires

Et puis, il y a les conversations plus précises, avec des festivaliers qui ont d’ores et déjà quelques idées derrière la tête : « Est-ce qu’il existe des missions où je peux aider concrètement à préserver les forêts ? », demande un jeune homme qui suit un cursus universitaire en gestion de projets environnementaux. Un peu plus tard, une festivalière, étudiante en droit internationale, s’interroge sur le meilleur choix à faire entre une mission de Service civique auprès de l’Organisation internationale de la francophonie à Madagascar, ou un volontariat de solidarité internationale (VSI) en Malaisie, sur le même thème.

Donner du « sens à la fête »

L’occasion pour les équipes de présenter les programmes thématiques du moment portés par France Volontaires : V-Forêts et V-Amazonie, pour celles et ceux qui souhaitent contribuer à la protection des écosystèmes forestiers, et V-Francophonie, qui favorise l’engagement dans des pays partageant la langue française.

À côté du photobooth et du quiz — qui, comme toujours, fait son petit effet avec son buzzer et ses questions parfois piégeuses sur les indemnités ou les dispositifs —, une fresque de l’engagement s’est doucement construite au long du week-end.  Au total, plus de 800 festivaliers auront été sensibilisés, informés, interpellés, au cours d’un festival qui porte haut la défense de valeurs chères à France Volontaires, comme la prévention santé ou la défense des droits humains, auxquels participent activement les volontaires en mission. Au rythme des concerts, entre deux riffs de guitare ou un couplet de rap, ils ont ainsi découvert qu’on pouvait aussi donner du « sens à la fête » comme le prônait le slogan du festival cette année. Et si la fête s’achève, pour certains, une autre aventure solidaire commence peut-être demain.

 

 

 

 

 

 

[New-York] FPHN 2025 – Une solution durable et inclusive pour l’agenda 2030 : l’apport du volontariat international aux ODD

VERSION FRANCAISE

L’évènement parallèle proposé par la France en marge de l’édition 2025 du FPHN illustrera le rôle essentiel de l’approche partenariale dans la mise en œuvre des ODD et les interactions structurantes qui les relient.

L’Assemblée générale des Nations Unies a désigné 2026 comme l’Année internationale des Volontaires au service du développement durable, reconnaissant le volontariat comme « un puissant outil intersectoriel » pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030.

Dans ce contexte, et quelques semaines après la conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC3) à Nice, la France propose de mettre à l’honneur le volontariat international, en tant que solution durable et inclusive pour l’atteinte des ODD à tous les échelons (local, national, mondial). Un accent particulier sera mis sur sa contribution aux enjeux environnementaux, et notamment à la protection de l’Océan (ODD14).

En effet, à travers le monde, les volontaires internationaux sont mobilisés par diverses structures, et tout particulièrement des collectivités territoriales et des organisations non gouvernementales, sur des missions touchant à ces défis cruciaux. Ils et elles travaillent ainsi à l’éducation environnementale, la préservation de la biodiversité marine, la lutte contre la pollution plastique et chimique, l’accès à l’eau et à l’assainissement… le volontariat international se révèle un levier innovant et un vecteur de partenariats face aux problématiques environnementales. Par ailleurs, il est un instrument particulièrement adapté au renforcement des capacités à agir des acteurs de la société civile, et notamment des jeunes, en faveur de la solidarité internationale.

Les résultats d’une étude réalisée par France Volontaires, opérateur du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, en partenariat avec le ministère de la Transition écologique, mettent en évidence l’apport du volontariat dans la construction d’un avenir durable et résilient. Des programmes concrets tels que « Volontaires pour la Grande Muraille Verte » (qui a mobilisé plus de 100 volontaires dans la lutte contre la désertification en Mauritanie, Sénégal, Tchad, Djibouti et en France) illustreront cet engagement au service de la préservation de l’environnement et du développement durable.

Contacts : Clarisse Bourjon, Responsable du service Reconnaissance et Valorisation, chargée des Relations institutionnelles : [email protected]

ENGLISH VERSION

The side event proposed by France, in collaboration with France Volontaires, on the margins of the 2025 edition of the High-Level Political Forum (HLPF) will illustrate the essential role of the partnership approach in the implementation of the SDGs and the structuring interactions that link them.

The United Nations General Assembly has designated 2026 as the International Year of Volunteers for Sustainable Development, recognizing volunteerism as “a powerful cross-sectoral tool” for the implementation of the 2030 Agenda.

In this context, and a few weeks after the United Nations Ocean Conference (UNOC3) in Nice, France proposes to highlight international volunteering as a sustainable and inclusive solution for achieving the SDGs at all levels (local, national, global). Particular emphasis will be placed on its contribution to environmental issues, and in particular to the protection of the Ocean (SDG14).

Indeed, throughout the world, international volunteers are mobilized by various structures, and especially local authorities and non-governmental organizations, on missions related to these crucial challenges. They work on environmental education, the preservation of marine biodiversity, the fight against plastic and chemical pollution, access to water and sanitation, etc. International volunteering is proving to be an innovative lever and a vector of partnerships in the face of environmental issues. In addition, it is a particularly suitable instrument for strengthening the capacity of civil society actors, and in particular young people, to act in favour of international solidarity.

The results of a study carried out by France Volontaires, an operator of the French Ministry for Europe and Foreign Affairs, in partnership with the Ministry of Ecological Transition, highlight the contribution of volunteering in building a sustainable and resilient future. Concrete programmes such as “Volunteers for the Great Green Wall” (which has mobilised more than 100 volunteers in the fight against desertification in Mauritania, Senegal, Chad, Djibouti and France) will illustrate this commitment to environmental preservation and sustainable development.

Contacts : Clarisse Bourjon, Head of the Recognition and Valorization Department, in charge of Institutional Relations : [email protected]

Lancement du programme V-Amazonie : les premiers volontaires mobilisés en Amérique du Sud

La forêt amazonienne est souvent qualifiée de « poumon de la planète ». Elle capte chaque année près de 2 milliards de tonnes de CO₂ et abrite 10 % de la biodiversité mondiale. Pourtant, elle subit une pression croissante : déforestation massive, agriculture intensive, exploitation minière illégale… En 2023, lors du Sommet pour l’Amazonie réuni à Belém (Brésil), les huit pays riverains se sont engagés à coopérer davantage pour enrayer la dégradation de cet écosystème vital. Mais face à l’urgence climatique, les initiatives citoyennes sont aussi essentielles. C’est dans cette perspective que France Volontaires a lancé le programme V-Amazonie, qui vient de franchir une étape clé avec le déploiement de ses premiers volontaires sur le terrain.

Un programme au service de la forêt et des acteurs locaux

Financé par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères pour une durée de 30 mois, le programme V-Amazonie mobilise une cinquantaine de volontaires internationaux dans cinq pays : Bolivie, Brésil, Colombie, Équateur et Pérou. Ces volontaires s’engagent auprès d’organisations locales pour renforcer la préservation de la forêt et sensibiliser les jeunes aux enjeux du changement climatique.

© Filippo Cesarini / Unsplash

Au-delà de l’engagement sur le terrain, le programme vise aussi à renforcer les réseaux d’acteurs impliqués dans la conservation de l’Amazonie, en soutenant le partage d’expériences, la montée en compétences et le travail en synergie entre ONG, institutions et chercheurs.

La Bolivie, terrain stratégique pour le déploiement de V-Amazonie

C’est à Santa Cruz de la Sierra, en Bolivie, que Cédric Bouchet a pris ses fonctions de coordinateur du programme V-Amazonie pour ce pays. Accueilli par l’Ambassade de France, ce philosophe de formation n’est pas un novice : avec plus de dix ans d’expérience dans la solidarité internationale dont quatre passées dans le pays, il retrouve une terre qu’il connaît bien.

Pendant les 20 prochains mois, hébergé par l’Alliance française de Santa Cruz, il aura pour mission de soutenir la mobilisation d’au moins sept volontaires et d’accompagner une vingtaine d’organisations locales œuvrant pour la conservation de la biodiversité amazonienne. Son rôle ? Favoriser la mise en réseau, appuyer les partenaires, et garantir le bon déroulement des missions.

Une dynamique appelée à s’amplifier

Le lancement du programme V-Amazonie en Bolivie s’inscrit dans une dynamique plus large: l’ensemble des coordinateurs sont désormais en mission dans chacun de leur pays pour amorcer de façon concrète les premières actions. À travers ces implantations, France Volontaires entend structurer un réseau régional solide, au service de la préservation de la forêt et de la coopération entre acteurs engagés.

Photo de couverture : © Nareeta Martin / Unsplash

 

 

 

 

 

 

Inauguration de la Maison des Arts de Rufisque : deux volontaires au cœur d’un dispositif de coopération vieux de 30 ans

La nouvelle Maison des Arts de Rufisque Khar Mbaye Madiaga a été inaugurée le mercredi 18 juin dernier par le maire de la ville de Rufisque, Oumar Cissé, le préfet de la ville Maguette Diouf, l’adjoint à la mairie de Nantes Alassane Guissé et le directeur de la maison des Arts Aly Sine.

 

Cette maison qui veut “offrir un nid aux rêves artistiques et culturels”, a pour but d’accueillir en son sein des artistes jeunes et moins jeunes, professionnels ou amateurs de la ville de Rufisque. Elle est le fruit de la coopération entre les villes de Nantes et de Rufisque, entamée dès 1992 au service de valeurs communes: la liberté, l’inclusion artistique, culturelle et sociale.

 

 

Cette coopération est notamment incarnée par un échange de volontaires entre les deux municipalités : Marie-Claire, Rufisquoise en mission auprès de la ville de Nantes et les Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active (CEMÉA) Pays de la Loire, et Julianne, Nantaise en mission auprès de la ville de Rufisque et les CEMÉA de Rufisque, toutes grâce au soutien de l’association Solidarité laïque. Elles œuvrent ensemble depuis décembre 2024 à la mise en place et à la réussite de ce projet coopératif en construisant une cartographie commune du tissu associatif et culturels des deux villes. Elles ont aussi fortement contribué à l’ouverture de ce nouveau lieu de culture à Rufisque.

France Volontaires entame son séminaire international sous le signe d’une confiance renouvelée

La semaine de séminaire de France Volontaires a débuté sur une note solennelle avec une première séquence tenue à l’Hôtel du ministre, en présence de Thani Mohamed-Soilihi, ministre délégué à la Francophonie. L’événement, historique, a rassemblé les équipes déployées à travers le monde, dans un esprit de cohésion et d’engagement renouvelé. Trois semaines après la signature du contrat d’objectifs et de performance (COP),le ministre a tenu à réaffirmer sa confiance envers France Volontaires, saluant une organisation qui « incarne nos valeurs, notre solidarité et notre fraternité dans le cadre de partenariats équilibrés, respectueux et durables ».

Des priorités claires pour un volontariat plus accessible et éthique

Cette reconnaissance s’est accompagnée d’échanges nourris entre les équipes terrain et les représentants du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), venus partager les grandes priorités régionales et globales. Les témoignages de terrain de Moussa Bah, Nathalie Isaac-Dahomay, Virginie Holler et Pierre Soëtard ont illustré de manière concrète l’impact du Volontariat international d’échange et de solidarité (V.I.E.S), perçu comme un levier puissant de coopération durable. Le ministre a exprimé l’espoir d’une « solidarité renforcée face aux défis globaux » et formulé « le vœu que cette semaine de travail permette de réfléchir à ces grandes orientations et au rôle du volontariat dans le champ environnemental et l’économie sociale et solidaire ». Des propos qui ont insufflé une dynamique forte aux équipes de France Volontaires, engagées avec enthousiasme à « constituer des coopérations nouvelles et innovantes qui servent les intérêts des Français ».

Thani Mohamed-Soilihi, ministre délégué à la Francophonie. © France Volontaires

Au fil des interventions, cinq grandes priorités ont été rappelées par le ministère : ouvrir plus largement l’accès au volontariat, quel que soit l’origine sociale ou géographique ; consolider la présence de France Volontaires dans les Outre-mer ; sécuriser le cadre juridique du volontariat à l’international ; favoriser des partenariats équitables ; et promouvoir un volontariat responsable, en accord avec la charte du V.I.E.S et les Objectifs de développement durable (ODD).

Ces axes structurants confirment la volonté partagée de bâtir une action volontaire fondée sur l’équité, la réciprocité et le respect des communautés. Le volontariat, dans cette vision, dépasse les logiques bilatérales pour s’inscrire dans une coopération ancrée et partagée.

Un séminaire placé sous le signe de l’énergie collective

Au-delà des déclarations, cette première journée a permis de poser les bases d’une semaine de réflexion stratégique, dans une atmosphère de dynamisme et de mobilisation. Le réseau international de France Volontaires, appuyé par les directions régionales du MEAE — Amériques, Asie, Afrique du Nord, Afrique australe et océan Indien —, peut désormais s’appuyer sur des orientations claires et des soutiens affirmés.

« Que cette semaine de travail permette de réfléchir à ces grandes orientations et au rôle du volontariat dans le champ environnemental et l’économie sociale et solidaire »
Thani Mohamed-Soilihi, ministre délégué à la Francophonie

« Ce sont des femmes et des hommes qui incarnent nos politiques », a rappelé le ministre, soulignant que, bien au-delà des programmes et financements, c’est l’engagement humain qui fait la force du volontariat. Une conviction partagée par l’ensemble des équipes, prêtes à relever les défis qui les attendent sur le terrain.

 

© France Volontaires

 

 

Le Togo se mobilise pour le Forum mondial de l’économie sociale et solidaire de Bordeaux 2025

À l’automne 2025, la France accueillera pour la première fois le Forum mondial dédié à l’économie sociale et solidaire (GSEF, en anglais), après les précédentes éditions tenues à Séoul, Montréal, Bilbao, Mexico et Dakar. Cet événement international d’envergure, organisé tous les deux ans, réunit les acteurs clés de l’écosystème de l’économie sociale et solidaire à l’échelle mondiale. C’est dans ce contexte que l’Espace Volontariats du Togo a accueilli une rencontre, grâce à l’Organisation pour le développement économique et social en Afrique (ODESA), ABEWE – co-pilote du Pôle Jeun’ESS du GSEF en Afrique – afin de sensibiliser les acteurs togolais de l’économie sociale et solidaire (ESS) et à encourager leur participation au forum international.

L’événement, organisé en format hybride (présentiel et en ligne), a réuni une diversité d’acteurs : jeunes porteurs de projets, responsables d’organisations de la société civile, représentants d’institutions publiques, structures d’accompagnement ainsi que des volontaires nationaux et internationaux.

La séance a été ouverte par Fadel Tchagouni, président de l’ODESA et Point Focal Togo du GSEF, qui a présenté le contexte et les enjeux de la mobilisation autour du GSEF 2025, en insistant sur le rôle clé de la jeunesse dans la promotion de l’économie sociale et solidaire. Il a été suivi par les interventions de Fabrice Balou, représentant d’ABEWE, de Telngar Rassembeye, représentant national de France Volontaires Togo, et de Ndoumbé Pouye, assistante programmation et mobilisation internationale jeunesse au sein du GSEF Bordeaux 2025.

Les échanges ont permis d’identifier des pistes de participation, de collaboration et de valorisation des initiatives portées par les jeunes et les acteurs locaux. La séance s’est conclue par un moment convivial autour d’un cocktail offert par l’association TOGONOU, favorisant les discussions informelles et les rencontres.

Cette rencontre marque une étape importante dans l’engagement du Togo au sein des dynamiques internationales de l’économie sociale et solidaire. Elle témoigne d’une volonté commune des acteurs togolais de contribuer activement à la construction d’une économie inclusive, durable et solidaire.

France Volontaires réunit ses partenaires franciliens autour de l’engagement international

C’est dans les salons de l’Hôtel de Ville que s’est tenue, vendredi 13 juin, une première rencontre institutionnelle consacrée aux volontaires internationaux accueillis en Île-de-France. Une cinquantaine de participants, élus, têtes de réseau, acteurs associatifs et jeunes engagés s’y sont retrouvés autour d’un mot d’ordre : reconnaître et renforcer la dynamique du volontariat de réciprocité. Un engagement que la Ville de Paris assume pleinement.

« Depuis 2023, la Ville de Paris participe au programme Territoires Volontaires : ça nous a semblé évident, parce que cela correspond à cette image d’ouverture au monde que nous portons avec la maire de Paris », a souligné Arnaud Ngatcha, adjoint à la maire de Paris en charge de l’Europe et des relations internationales, en ouverture de la rencontre. « Paris, dans son histoire, s’est enrichie des différentes migrations et des différentes cultures, et c’est bien de le porter haut », a-t-il poursuivi.

Arnaud Ngatcha, adjoint à la maire de Paris en charge de l’Europe et des Relations internationales (à gauche) et Yann Delaunay, directeur général de France Volontaires. © France Volontaires

Aux côtés d’Arnaud Ngatcha, Yann Delaunay, directeur général de France Volontaires, a rappelé l’ampleur de la dynamique : « C’est la première rencontre organisée pour les volontaires de réciprocité mobilisés au niveau de l’Île-de-France. On est persuadé que ces mobilités croisées – permettre à des Français d’aller découvrir le monde et à des volontaires de pays partenaires de venir en France – sont une des richesses du dispositif français. » Quinze nationalités sont représentées parmi les volontaires accueillis cette année dans la région, venant de tous les continents.

Des collectivités et des visages engagés

La table-ronde, qui a suivi les allocutions, a mis en lumière la diversité des acteurs impliqués : collectivités territoriales, associations, opérateurs du volontariat. Lauren Gimenez, déléguée générale adjointe aux relations internationales de la Ville de Paris, a partagé l’expérience parisienne : « Une fois qu’on a testé avec succès le principe du volontariat à l’international, on a tenté le volontariat de réciprocité, qui constitue une façon de bénéficier d’un savoir-faire, d’une expertise. » Deux volontaires sont actuellement en mission à Paris : Monica Leyva, du Pérou, affectée à la culture internationale, et Antonia Rubinstein, d’Argentine, mobilisée sur les questions d’urbanisme et de développement durable.

Une vingtaine de volontaires en réciprocité, représentant quinze nationalités et tous les continents, se sont réunis à l’Hôtel de Ville de Paris. © France Volontaires

Leurs témoignages ont marqué l’assistance. « Cette mission à la Mairie de Paris était une vraie opportunité. Je viens du Pérou, ce n’est pas un pays qui dispose d’autant d’événements culturels qu’ici, donc pour moi c’est très enrichissant », a confié Monica. De son côté, Antonia Rubinstein a décrit une expérience transformatrice : « C’était une opportunité unique de travailler avec la Ville de Paris sur des sujets qui faisaient l’objet de mes études. C’est une expérience qui a complètement changé ma vie. »

 

Un engagement partagé au service de la jeunesse

La Région Île-de-France, également impliquée, a présenté le profil de Franck Gnanzou, volontaire de solidarité internationale dans le cadre d’un partenariat avec le district autonome d’Abidjan, en Côte d’Ivoire. « Sa mission vise à appuyer la transition des territoires vers une économie circulaire, en lien avec le projet TEECO », a expliqué Nicolas Rihet, coordinateur Lycées éco-responsables.

Sabrina Kehli, du Département de la Seine-Saint-Denis, a rappelé combien la mobilité internationale est un levier pour la jeunesse locale : « La Seine-Saint-Denis est l’un des départements les plus jeunes et les plus pauvres de France. La mobilité est un vecteur d’insertion, et le programme TeVo nous a permis de construire des offres de mobilité en individuel pour des périodes longues. »

Un échange a eu lieu dans la bibliothèque du Conseil de Paris, en présence de représentants de plusieurs collectivités locales d’Île-de-France et de la société civile. © France Volontaires

L’après-midi a également permis de mettre en lumière le travail d’associations telles que la Délégation catholique pour la coopération (DCC). Son représentant, Guilhem Clermont, a insisté sur l’impact interculturel du dispositif : « C’est un plaisir. Sur le plan interculturel, ça permet d’avoir ce regard croisé, cette dimension de partage de compétences. C’est une jeunesse qui participe activement à construire des ponts entre différentes sociétés. »

En conclusion, Samir Moudir, de la DRAJES Île-de-France, a rappelé que l’accueil de volontaires internationaux s’inscrit pleinement dans la stratégie régionale d’engagement des jeunes : « Ce que vous incarnez est une force de proposition pour notre société. »

La rencontre s’est clôturée par une collation, favorisant les échanges informels. Mais les fruits de cette journée, eux, devraient se prolonger dans la durée : « Vous êtes une manière de mettre en œuvre une action incarnée, concrète, partenariale, réciproque », a résumé Yann Delaunay. Un volontariat international à visage humain, riche de sens, d’égalité et de réciprocité.

 

UNOC3 : les jeunes volontaires en première ligne pour un Océan durable

La 3e conférence des Nations unies sur l’Océan, UNOC3, s’est tenue à Nice du 9 au 13 juin 2025. Ce fut une semaine riche d’opportunités et de visibilité pour France Volontaires et le Volontariat international d’échange et de solidarité (V.I.E.S). L’opérateur du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères a mobilisé une délégation de volontaires qui a su incarner l’engagement des citoyens autour des enjeux océaniques à travers divers dispositifs permettant les mobilités croisées : le Volontariat de solidarité internationale (VSI), le Service Civique (SC), le Corps européen de solidarité (CES) et les chantiers Ville, Vie, Vacances et Solidarité Internationale (VVVSI).

Grâce à l’accréditation ECOSOC (de l’ONU) dont bénéficie France Volontaires, ces derniers ont pu découvrir la zone officielle – la zone bleue, positionnée au cœur du port de Nice – et y apercevoir António Guterres et John Kerry, les salles de négociation et les nombreuses délégations. Ils sont aussi intervenus dans la zone verte, renommée « La Baleine » pour l’occasion, pour des événements tournés vers le grand public.
Le V.I.E.S, levier de la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD), a ainsi trouvé toute sa place dans ce sommet international, temps fort de l’agenda environnemental autour de la préservation de l’Océan, grâce à plusieurs séquences.

Des décideurs en soutien au volontariat international

Dès le 9 juin au soir, à l’occasion de l’inauguration du Pavillon de l’AFD, l’Archipel, et de l’expérience immersive développée par la Fondation Elyx, les volontaires ont échangé avec Thani Mohamed Soilihi, ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux, signe de son attachement à l’engagement des jeunes, et notamment des volontaires. Le directeur général de l’AFD, Rémi Rioux, a également salué nos jeunes engagés pour un Océan durable.


Tout au long de la conférence, les volontaires ont eu le privilège de rencontrer des décideurs et autres personnalités qui ont pris le temps d’échanger sur leurs expériences : les ministres Jean-Noël Barrot et Agnès Pannier-Runacher, les députées Amélia Lakrafi et Eléonore Caroit, la commissaire européenne Dubravka Suica, le directeur général de l’Outre-mer Olivier Jacob, etc.

Des animations pour valoriser le volontariat sur l’océan

Le 5 juin, un événement parallèle UNOC3 sur le volontariat au service de l’Océan a été organisé en ligne par France Volontaires avec ses partenaires de la Volunteer Groups Alliance, et a permis de réunir près de 70 participants. Les interventions ont permis de valoriser les volontaires et structures de volontariat qui œuvrent au quotidien pour la préservation des écosystèmes océaniques.

Par ailleurs, une journée spéciale « Engagement citoyen et volontariat » figurait dans la programmation de l’Archipel, le pavillon de l’Agence française de développement (AFD), le 10 juin, déclinée en deux temps portés par France Volontaires :

  • Une session d’information-orientation pour le grand public désireux de s’engager, nourrie de témoignages d’anciens volontaires en Service Civique :
    • Julien Laborda, envoyé par La Guilde auprès de Malika Surf au Sénégal, qui a œuvré à l’émancipation des jeunes filles par le sport ;
    • Alejandra Mata Alsiras, de retour d’une mission en Équateur sur la sensibilisation à l’environnement et au respect de l’Océan ;
    • Riel Kariz Oronico, venue des Philippines en mission au Centre de Découverte Mer et Montagne sur un programme Fonds Équipe France (FEF) soutenu par l’ambassade de France aux Philippines

À noter la participation de jeunes Marseillais en chantiers VVSI, mobilisés par des centres sociaux de la Ligue de l’enseignement – Fédération des Bouches-du-Rhône, dans le cadre du projet Jeunes des 2 Rives (J2R) piloté par Solidarité Laïque.

  • Une conférence « Cap sur l’engagement : Le volontariat international pour un Océan durable » a permis de valoriser une étude tout juste publiée sur la contribution du V.I.E.S aux enjeux environnementaux, disponible [ici].
    Des volontaires et membres de France Volontaires se sont exprimés pour mettre en avant des actions et projets concrets ayant un impact sur la préservation de l’Océan : Anne-Cécile Ragot pour Planète Urgence sur la contribution des volontaires au développement durable ; Mandioukette B. N’Diaye de Solidarité Laïque sur le renforcement des liens entre les jeunes du pourtour de la Méditerranée à travers l’engagement et le volontariat. Bruno Lorion représentait quant à lui la Région Réunion, qui mobilise des volontaires dans le cadre de sa coopération régionale, notamment grâce au programme Territoires Volontaires (TEVO), piloté par France Volontaires avec le soutien du MEAE, et grâce au programme européen INTERREG.
    Gaël Alsiret, ancien VSI avec la Région Sud, a pu témoigner de sa mission dans le cadre de la coopération décentralisée de la Région avec le Costa Rica, lors de laquelle il a contribué à un projet de protection des aires marines.

En parallèle, Gaël Alsiret, rejoint par Mustapha El Baz et Rana Chouk, volontaires en CES du Maroc et de Tunisie avec Une Terre Culturelle et Bokra Sawa, a pris la parole devant la commissaire européenne à la Méditerranée, Dubravka Šuica, aux côtés d’un ancien volontaire libanais, Georges Mrad, représentant l’Académie des talents de l’AFD.
Son intervention a permis de valoriser l’impact du volontariat sur les parcours et l’orientation professionnelle.

Des jeunes engagés remettent un manifeste pour la protection de l’océan

La Prise de la Baleine, le 12 juin, a permis de mettre en avant de jeunes engagés et des projets concrets de terrain. Le Manifeste mondial des jeunes citoyens de l’Océan, auquel nous avons participé, a été remis à la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, et à Peter Thompson, envoyé spécial du SGNU sur l’Océan.
L’ex-VSI Gaël Alsiret, qui a passé un an en mission au Costa Rica, a porté l’une des recommandations et incarné le volontariat comme levier d’engagement des jeunesses pour un Océan durable.

Le 12 juin au matin, c’est Alejandra Mata Alsiras qui s’est prêtée à l’exercice, témoignant de son expérience en Équateur. Envoyée par l’association Planète Urgence, elle a effectué sa mission de Service Civique auprès de Los Amiguitos del Océano, pour sensibiliser les populations locales à la biodiversité marine et au nettoyage des plages et fonds marins des déchets plastiques.
Deux autres volontaires et structures ont été mises en valeur :

  • Marie, de l’Institut océanographique Paul Ricard, qui effectue sa mission dans le cadre du programme européen Aquabios, pour développer l’aquaculture durable ;

  • Lilia, de la Ligue de protection des oiseaux Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui veille à la bonne cohabitation en ville avec des espèces nicheuses, comme les goélands, et participe aux missions juridiques de l’association pour la protection d’espèces menacées comme le thon germon et l’espadon.

Éléonore Caroit, député des Français établis hors de France en Amérique latine et Caraïbes en discussion avec deux volontaires. © France Volontaires

Vers la COP de l’Océan : le volontariat international prêt à s’impliquer

Enfin, grâce aux équipes de l’ambassadeur Olivier Poivre d’Arvor, les volontaires ont bénéficié d’une visite guidée du navire océanographique Le Thalassa, basé pour l’occasion dans le port de Nice, par des scientifiques de l’Ifremer et l’équipage du bateau.
Ils ont aussi pu monter à bord du sous-marin Alfred Merlin, spécialisé dans l’archéologie sous-marine, un domaine qui intéresse particulièrement la volontaire en Service Civique Alejandra Mata Alsiras. Sa mission l’a confortée dans sa passion pour l’Océan, et elle compte reprendre ses études pour étudier la biologie marine. Le volontariat, outil d’insertion socio-professionnelle, permet aussi de révéler ou de conforter des choix d’orientation.

Les organisateurs de l’UNOC3 se sont félicités des avancées obtenues pour la protection de « ce bien commun », notamment l’entrée en vigueur prochaine du traité sur la haute mer, qui permettra d’organiser dès l’année prochaine la première COP sur l’Océan.
Un rendez-vous que France Volontaires, ses membres et partenaires, ne manqueront pas d’investir pour porter haut et fort la voix du volontariat international et inciter les acteurs du secteur à mobiliser le V.I.E.S dans le cadre de leurs programmes en lien avec la préservation de l’Océan.

Une étude inédite sur le rôle du volontariat international face aux défis écologiques

Face aux défis environnementaux croissants et au dépassement des limites planétaires, France Volontaires et ses membres ont souhaité mener une étude sur le rôle du V.I.E.S comme levier concret de la transition écologique. Elle est soutenue par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et le Commissariat général au développement durable (CGDD) du ministère de la Transition écologique. 
À travers une diversité d’actions menées sur le terrain, le volontariat y apparaît comme un vecteur de transformation durable, soutenu activement par France Volontaires à travers ses programmes, ses partenariats et ses travaux réflexifs.
Un outil appliqué à cette étude, le Radar des ODD, montre que le volontariat international contribue de façon significative à l’ensemble des ODD environnementaux, notamment par la sensibilisation aux enjeux environnementaux (ODD 4), le développement d’outils de formation et la promotion de modes de vie durables.
Huit recommandations clés ont été formulées pour renforcer, tant qualitativement que quantitativement, la contribution du volontariat international aux enjeux environnementaux.