Mathieu, Ornella et Siaka sont les 3 premiers volontaires ivoiriens engagés dans le programme de Mobilité entre la Côte d’Ivoire et la France pour effectuer une mission de Service Civique en France. Leur destination : Marseille.
Pour rappel, le programme de Mobilité croisée prévoit la mobilisation de 15 jeunes ivoiriens en France et de 15 jeunes français en Côte d’Ivoire, tous en statut de Service Civique.
Pendant 6 mois, Mathieu, Ornella et Siaka vont participer aux activités et apporter leur aide à des associations dans la région de Marseille.
Arrivés en février, cela fait maintenant 2 mois que les 3 volontaires sont installés dans la cité phocéenne et ont pris leurs marques.
Ornella effectue son Service Civique entre deux associations :
Ami Tomaké : espace proposant différentes activités sportives et créatives à des enfants valides et également atteints de handicap mental afin de favoriser leur bien-être et leur inclusion ;
Episec : centre social qui vise à créer du lien social, de lutter contre l’isolement et toute forme d’exclusion et favoriser l’accès aux loisirs, à la culture et au sport pour tous.
Elle appuie ainsi les équipes dans l’accueil des enfants et participent à l’animation d’activités ludiques. C’est une bonne occasion pour elle de présenter la Côte d’Ivoire aux enfants et leur faire découvrir les différentes facettes de la culture ivoirienne.
« J’ai envie d’instaurer des contes africains et de préparer des amuse-gueules pour faire goûter aux enfants et leur expliquer les habitudes culinaires de la Côte d’Ivoire. » – Ornella
Elle s’occupe également de réorganiser les livres dans la bibliothèque du centre social. Envoyée par l’association Des Livres Pour Tous en Côte d’Ivoire (DLPT-CI) où elle était bénévole, Ornella retrouve ainsi une activité qui ne lui est pas inconnue et dans laquelle elle se sent bien.
Siaka, également ancien bénévole à DLPT-CI, effectue son volontariat au sein d’un incubateur, Inter-made, accueillant des personnes ayant un projet d’entreprise dans l’économie sociale et solidaire. Il a pour mission de participer à l’organisation d’animations pour les incubés. Il a par exemple organisé des repas partagés entre les différentes promotions et fait des cartographies sur les entrepreneurs permettant de cerner leurs projets et leurs besoins.
« J’apprends constamment des choses nouvelles et utiles sur le monde du travail et notamment les outils bureautiques. Je suis très content d’être utile et j’espère que je continuerai à l’être. » – Siaka
En parallèle de sa mission, il a pu assisté à une formation sur les institutions européennes afin d’en apprendre plus sur le fonctionnement de l’Union Européenne et ses institutions.
Mathieu intervient auprès de Recyclop, association qui a pour but de réduire l’impact de la pollution des mégots sur l’environnement. Il participe à différentes activités :
Tenue des stands d’information et de sensibilisation à la pollution des mégots de cigarettes ;
Récupération des mégots auprès de structures disposant d’un matériel de collecte ;
Nettoyage et ramassage des mégots sur les plages ;
Distribution de cendriers de poche.
« Nous avons collecté pour ces deux derniers mois 246 000 Kg de mégots ! » – Mathieu
Des activités qui occupent bien tout le temps de Mathieu et dans lesquelles il s’épanouit !
En mars, Mathieu et Siaka ont pris part au Carnaval de la Plaine de Marseille. Ils ont porté des habits traditionnels de l’Ouest et du Nord de la Côte d’Ivoire et ont représenté fièrement leur pays.
Tout se passe bien pour les trois jeunes ivoiriens qui sont en colocation et qui viennent d’accueillir un nouveau colocataire, un volontaire marocain.
« On s’entraide et on se donnent des idées pour nos missions de volontariat » – Ornella
Après ces deux mois d’acclimatation et de prises de marques dans leur nouvel environnement, les volontaires ont pour projet de prendre quelques jours de vacances afin de découvrir d’autres villes françaises et de rendre visite à des proches.
A bientôt pour la suite de leurs aventures françaises !
En annonçant le lancement du projet pilote d’appui au développement territorial d’Amourj Bougadoum et Adel Bagrou, dans le Hodh Ech Chargui, zone d’Approche Territoriale Intégrée (ATI) de l’Alliance Sahel – Projet de Tenmiya d’Iklim Kouch (TIK) en décembre 2022, le gouvernement mauritanien affichait sa détermination à intégrer des zones et des populations jusque-là en marge.
Vaste territoire aux 2/3 désertique à la frontière du Mali, la Wilaya du Hodh Ech Chargui est un terroir d’élevage. Plus grande région du pays, elle ne compte cependant qu’environ 2 habitants par km². 70% de la population vit dans une localité comptant moins de 500 personnes. Assurer un développement durable et inclusif, ainsi qu’un service public de qualité est donc un défi immense. Il est d’autant plus important que la région est classée zone prioritaire par le G5 Sahel et l’Alliance Sahel en raison de l’impact liée à la crise malienne et les tensions avec les populations réfugiés.
Financé par l’Agence Française de Développement (AFD) à hauteur de 1 million d’euros, l’objectif global du projet TIK est « d’apporter des solutions aux fragilités du Territoire, contribuant à la prévention des conflits et à la participation citoyenne à travers le renforcement des services publics locaux et l’appui au développement économique ».
Dans le cadre de mise en œuvre du projet TIK, le partenariat triparti entre la Direction Générale des Collectivités Territoriales (DGCT) du ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation, le programme national de volontariat Watanouna et France Volontaires se traduit par le déploiement de 20 volontaires nationaux pour renforcer les capacités des services publics locaux. Cela constitue une véritable nouveauté en Mauritanie.
« Watanouna est un programme étatique lancé en 2020 sous la tutelle du ministère de la jeunesse. Nous travaillons sur 3 aspects : le volontariat, le bénévolat et le volontariat humanitaire » explique son coordinateur, Ahmed Abderahmanne. « Nous travaillons depuis un an et demisur ce projet pilote de promotion du volontariat national.Nous répondons à l’expression des besoins de la DGCT afin de renforcer les capacités des services publics au niveau de deux Moughataas (département) d’Amourj et d’Adel Bagrou.Notre rôle est d’assurer un meilleur service aux citoyens en comblant le manque d’effectifs local et de promouvoir le volontariat en Mauritanie. » Le financement de cette opération s’élève à 145 000 euros, supporté par le projet TIK.
Afin d’accompagner Watanouna dans cette première expérience, France Volontaires apporte son expertise dans l’encadrement, le suivi et la mobilisation des volontaires. « Cet appui se traduit par l’assistance technique lors de la préparation des fiches de missions, de l’appel à candidature et lors du processus de recrutement des volontaires, toujours en étroite collaboration avec les partenaires (DGCT, Watanouna et AFD) » explique Badi Siyid, le Représentant national de France Volontaires en Mauritanie. Des sessions de formations préparatoires seront réalisées au profit des volontaires avant leur déploiement sur le terrain.
Un assistant technique, Djibril Lom a spécialement été recruté par France Volontaires pour assurer un appui technique de proximité au profit du projet Watanouna.
Le volet volontariat du projet TIK est prévu pour une durée de 18 mois. Si celui-ci répond aux attentes, l’objectif est de passer à une plus grande échelle, au niveau de toute la région du Hodh Ech Chargui.
L’objectif de son déplacement était de participer à la 39e Conférence des Ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (CONFEJES) que Brazzaville a accueilli du 22 au 28 mars 2023 sous le thème « La Jeunesse, le sport et le loisir, facteurs de relance post-Covid-19 en faveur du développement durable ». Cette visite fut l’occasion de signer un accord cadre de partenariat avec la CONFEEJS, de rencontrer les autorités congolaises et françaises, ainsi que les différents acteurs du volontariat en vue de renforcer les partenariats de France Volontaires en République du Congo.
Rencontre et renforcement des liens avec les autorités congolaises
Le 27 mars 2023, un accord cadre de partenariat a été signé entre le Secrétaire Général de la CONFEJES, Madame Louisette-Renée THOBI et le Directeur Général de France Volontaires, Monsieur Yann DELAUNAY. Ce partenariat permettra de soutenir le développement concerté du volontariat, outil puissant des politiques de jeunesse dans les États francophones. Des actions conjointes de plaidoyer, de soutien technique aux initiatives des États, de partage de bonnes pratiques et d’espaces de communication seront menées afin d’appuyer et de promouvoir les mobilités internationales croisées dans l’espace francophone.
Cette réunion a également permis des échanges bilatéraux fructueux avec les ministres en charge de la jeunesse du Congo, de la République Démocratique du Congo et du Burkina Faso.
Une réunion de travail avec le directeur de cabinet du ministre de la Jeunesse et des Sports, Monsieur Charles MAKAYA, le coordonnateur du système des Nations Unies, Monsieur Chris MBURU, le Directeur Général de l’Agence Congolaise Pour l’Emploi, Monsieur Wilfrid BITSY et le Directeur adjoint du PNUD en République du Congo, Monsieur Henry René DIOUF, a posé les bases d’une action concertée et partenariale en faveur du dispositif de volontariat national congolais.
Le volontariat, dans le cadre de la coopération décentralisée, est un excellent moyen d’accompagner les processus de décentralisation. Avec l’ambition de renforcer les relations anciennes et nouvelles entre les collectivités congolaises et françaises, Monsieur Yann DELAUNAY et le ministre délégué en charge de la décentralisation et du développement local, Monsieur Juste Désiré MONDELE ont échangé sur les apports du volontariat et des mobilités croisées nord-sud, sud-Nord, sud-sud.
C’est aussi dans ce sens que les échanges avec la députée maire de Kintélé, Madame Stella MENSAH SASSOU NGUESSO, ont permis d’envisager des actions communes de mobilisation de volontaires dans le cadre de la coopération décentralisée entre la ville de Nevers en France et la commune Kintélé qui ont signé en mars dernier un accord de partenariat.
Dans le but de raffermir les liens de coopération entre France Volontaires et l’Etat congolais matérialisés par un accord de siège signé en 2010, Monsieur Yann DELAUNAY a rendu une visite de courtoisie au Directeur de la chancellerie, des privilèges et des immunités diplomatiques, Monsieur Reich Issombo OLANDZOBO du ministère des Affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’Etranger.
Au regard de toutes ces rencontres enrichissantes avec les autorités congolaises, France Volontaires compte renforcer les relations avec les pouvoirs publics de l’administration centrale et décentralisée en mettant en œuvre les pistes de collaboration et en concrétisant les perspectives partenariales abordées pendant les échanges pour un développement du volontariat national et international.
France Volontaires ancrée dans l’Equipe France au Congo
Durant sa visite, Monsieur Yann DELAUNAY a rencontré l’Ambassadeur de France au Congo, Son Excellence François BARATEAU en présence du Chef du Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC), Monsieur Lionel VIGNACQ et son équipe. Les échanges ont porté sur l’état des lieux de la collaboration entre l’ambassade de France et France Volontaires.
La question de l’agenda transformationnel, le déploiement de volontaires dans le cadre de l’initiative One Forest Youth Initiative (OFYI) dans le bassin du Congo, ainsi que la mobilisation de volontaires en soutien aux projets dans le domaine de l’agriculture au Congo ont également été évoqués.
Par ailleurs, une séance de travail avec le Directeur de l’AFD – Agence Française de Développement Monsieur Maurizio CASCIOLI et le Chargé du pôle développement humain, Monsieur Rohen D’AIGLEPIERRE, a permis d’envisager une future collaboration entre l’AFD et France Volontaires sur un projet de renforcement de l’employabilité des jeunes.
Ces entretiens avec les autorités françaises ont permis de réaffirmer l’ancrage de France Volontaires au sein de « l’Équipe France » au Congo et de dessiner les contours des futures collaborations.
Visite sur le terrain et moments d’échanges privilégiés avec les volontaires
France Volontaires partenaire du Réseau des acteurs du Volontariat et de la Solidarité Internationale (RAVSI Congo) est engagée dans le renforcement de la société civile congolaise.
Pour valoriser les actions d’acteurs de la société civile congolaise, l’Espace Volontariats a invité le Directeur Général à visiter le Centre de formation et de loisirs des Scouts et Guides du Congo, structure d’accueil de volontaires nationaux et français, membre du RAVSI. Plusieurs membres du RAVSI Congo et des volontaires du Programme des Volontaires des Nations Unies étaient présents pour découvrir ce site qui met en place un jardin botanique soutenu par l’ambassade de France dans le cadre du fond PISCCA.
Monsieur Yann DELAUNAY a également rendu visite au centre de l’ONG Actions de Solidarité Internationale (ASI) qui accueille des jeunes filles en situation de vulnérabilité. Deux volontaires de solidarité internationale y effectuent actuellement leurs missions.
Enfin, l’Espace Volontariats a organisé pour le Directeur Général de France Volontaires, une rencontre conviviale avec les volontaires, les structures d’accueil et d’autres acteurs du volontariat. Cette rencontre a vu la participation de l’Ambassadeur de France au Congo, du Délégué adjoint pour la société civile, l’engagement citoyen et la jeunesse du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, de l’équipe du Service de coopération et d’action culturelle, du Secrétaire permanent du Conseil consultatif de la société civile, du Coordonnateur du Corps des Jeunes Volontaires du Congo, des membres du RAVSI Congo. Ce fût l’occasion d’échanger sur la mise œuvre des missions de volontariat au Congo, de valoriser l’action des volontaires et de partager des informations et expériences.
La 39e Conférence des Ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (Confejes) s’est tenue du 22 au 28 mars 2023, à Brazzaville en République du Congo. La CONFEJES est une institution intergouvernementale de la Francophonie créée en 1969. Elle est composée de 43 États et gouvernements membres, et œuvre pour la promotion de la jeunesse, du sport, et des loisirs au sein de l’espace francophone.
Les échanges autour du thème retenu « La Jeunesse, le sport et le loisir, facteurs de relance post-Covid-19 en faveur du développement durable » ont permis d’aborder plusieurs orientations pour appuyer les pays membres dans les domaines de la jeunesse et des sports :
Encourager le développement des initiatives proposées par les jeunes et les associations ;
Favoriser les financements de projets d’insertion socio-économique proposés par des jeunes et appuyer les jeunes entrepreneurs ;
Contribuer à la formation d’une élite sportive en Afrique.
La participation des femmes au sein des activités jeunesse et sportives a été vivement encouragée et mise en valeur par la première nomination d’une femme au poste de Secrétaire Général de la CONFEJES.
Un partenariat fructueux
France Volontaires et la CONFEJES collaborent étroitement depuis plus d’une décennie dans le cadre de la promotion et du renforcement de capacité des programmes et agences de volontariat national dans les pays francophones. L’objectif de cet accord est d’institutionnaliser ce partenariat et de promouvoir le volontariat international en mettant en commun les expertises, les ressources et les réseaux de volontaires, d’acteurs et de partenaires.
Considérant la qualité des actions conduites et des résultats déjà obtenus, les partenaires souhaitent approfondir leurs relations et s’accordent sur l’importance du volontariat comme outil hautement formateur des jeunes tant sur le plan personnel que professionnel, et utile pour leur société d’origine et pour celle qui les accueille.
Des actions concrètes à mener
En signant cet accord, la CONFEJES soutient la promotion et la mise en place de programmes nationaux de volontariat au sein de ses pays membres et encourage le développement de la réciprocité dans le volontariat. Elle s’engage également à soutenir développement de la mobilité sud—sud et nord-sud en faveur des jeunes de l’espace francophone.
Dans le cadre de la mise en œuvre de l’ODD 17 portant sur « le partenariat pour la réalisation des objectifs », des actions de plaidoyer en direction des organisations internationales, des autorités des pays membres de la Francophonie, des médias, permettront une meilleure reconnaissance et utilisation des volontaires.
Les partenaires pourront également mobiliser des partenaires additionnels, partager les bonnes pratiques et capitaliser sur les différentes formes de volontariat dans le but de produire des outils pédagogiques et d’augmenter les capacités opérationnelles de chacun. De plus, les parties mutualiseront leurs ressources et coordonneront leurs actions dans le cadre des actions de communication spécifiques aux Journées du Volontariat (International, Francophone, Régional, National, Français).
Afin de veiller à la régularité et à la qualité des relations, du suivi et de la mise en œuvre du partenariat, les deux organisations désigneront, au niveau de leur siège, une personne référente.
L’année 2022 a vu la reprise des volontariats internationaux d’échange et de solidarité au Cambodge, ce que ce rapport annuel vient illustrer. Si nous avions réussi à maintenir un nombre importants de volontaires de longue durée pendant la pandémie, l’engagement citoyen et solidaire a repris avec plus de missions à la fois courtes et longues, alors même que le Covid-19 a démontré tout l’intérêt et toute la contribution des volontaires aux enjeux de développement du Cambodge !
C’est dans ce contexte de reprise que France Volontaires a opéré sa mue en Groupement d’Intérêt Public (GIP) dont les premiers éléments ont été exposés et discutés à la Journée du Volontariat Français à Phnom Penh, la première depuis la fin de la pandémie. C’est désormais autour de programmes forts et d’engagements renforcés au sein d’une équipe France mobilisée que l’opérateur souhaite développer le volontariat entre la France et le Cambodge et changer d’échelle pour l’application de son principe de réciprocité.
En 2022, nous avons également souhaité renforcer notre communication vers le public cambodgien, et notamment sa jeunesse et ses institutions, afin d’entamer une démarche partenariale plus poussée et de soutenir davantage le développement partagé de nos deux pays.
La reprise des actions en faveur d’un volontariat international de qualité au Cambodge permette de dessiner des perspectives ambitieuses pour 2023 tournées vers la valorisation, la transversalité et le changement d’échelle pour le VIES entre la France et le Cambodge.
Pour découvrir le rapport, veuillez cliquer sur l’encadré à droite de cet article. Je vous souhaite une très bonne lecture.
Voleak SOK, Représentante nationale de France Volontaires au Cambodge (2022)
Groupement d’Intérêt Public (GIP), France Volontaires est le fruit d’une construction partagée entre des acteurs publics et associatifs impliqués dans la solidarité internationale. Opérateur du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, elle assure une mission d’intérêt général : le développement et la promotion des engagements volontaires et solidaires à l’international. Pour ce faire, elle s’appuie sur une présence en France (métropole et territoires d’outre-mer) et sur un réseau d’Espaces Volontariats en Afrique, Moyen-Orient, Océan Indien, Asie, Pacifique, Caraïbes et Amérique latine.
Le service système d’information et moyens généraux a pour mission de :
Piloter la stratégie des systèmes d’information : architecture fonctionnelle et applicative adaptée aux enjeux de la plateforme et conforme à la réglementation
Assurer une gestion optimale des ressources et des moyens alloués à France Volontaires
Assister l’ensemble des utilisateurs, en France et dans le réseau international, dans l’utilisation des différents outils du SI
Le service est le garant du fonctionnement des postes informatiques, des systèmes d’exploitation et des systèmes d’information. Il doit mettre en œuvre toutes les procédures permettant de sécuriser le parc informatique et garantir ainsi une continuité de fonctionnement de la structure.
Descriptif de la mission
Sous la responsabilité hiérarchique du responsable de service, le/la chargé/e de missions support informatique a pour mission d’assurer le bon fonctionnement, le sécurisation et l’optimisation de l’ensemble des outils informatiques utilisés par les utilisateurs sur le plan national et international.
Les principales activités :
Administrer les systèmes réseau (intranet, serveur …) et les applications (SGBD…)
Mettre à disposition et installer les serveurs, postes de travail, composants réseaux, imprimantes …
Autoriser les accès à des systèmes et logiciels en lien avec les services concernés (gestion des accès)
Diagnostiquer et résoudre les incidents courants des systèmes, messagerie, sécurité
Préserver la sécurité des données, notamment d’empêcher qu’elles soient déformées, endommagées ou que des tiers non autorisés y aient accès pour léser ou porter préjudice à France Volontaires
Mettre en place et gérer la maintenance préventive et curative
Rédiger des documents techniques et procédures et les respecter ou les faire respecter
Assurer une veille technologique et proposer des évolutions ou solutions en matière informatique
Assurer conseil et assistance aux utilisateurs et les former sur les nouveaux outils, les bonnes pratiques
Suivre l’état des stocks et anticiper les besoins
Liste non exhaustive des activités et tâches
Profil requis
Formation et expérience
Formation supérieure dans les domaines de l’informatique, administration des systèmes d’information, services informatiques aux organisations, génie électronique et informatique industrielle …
Expérience entre 2 et 5 ans sur une fonction similaire et idéalement dans un contexte international
Compétences clés
Connaissance de base des systèmes d’information
Connaissance d’un SGBD (SQL server 2019, PostgreSQL), de langage SQL (requête SQL)
Connaissance de la virtualisation (Microsoft Hyper V/VMware vSphere)
Connaissance de la sécurité réseau (Sonicwall)
Maitrise des problématiques d’intégration d’exploitation (mise en production)
Maîtrise des systèmes Windows Server (2012 R2 / 2016 et 2019), Linux (Ubuntu, redhat),
Sens des relations humaines et aptitudes à travailler en équipe multiculturelle
Autonomie, rigueur, sens de l’organisation et des priorités
Sens de la communication et de la pédagogie
Disponibilité et sens du service
Conditions d’exercice
Statut d’agent contractuel
Rémunération selon expérience
Télétravail ponctuel possible sauf continuité de service
Poste basé à Ivry-sur-Seine (94), avec des déplacements occasionnels en région et à l’étranger
En mettant en objet : candidature cm support informatique
Fin réception des candidatures fixée le 16 avril 2023, sans réponse de notre part 2 semaines après la fin de réception des candidatures, veuillez considérer que votre candidature n’a pas été retenue.
Les volontaires burkinabè en France, acteurs engagés du développement durable et de l’interculturalité
Depuis le lancement du dispositif de volontariat international de réciprocité en 2014, les jeunes burkinabè ont été nombreux à franchir le pas et à se porter volontaires pour effectuer une mission en France. L’accompagnement offert par France Volontaires Burkina Faso et ses partenaires majeurs tels que le GIP-Programme National de Volontariat au Burkina Faso et le Réseau des Anciens Volontaires Internationaux de Réciprocité, d’Echanges et de Solidarité du Burkina Faso (RAVIRES-BF) a permis de soutenir qualitativement et quantitativement le déploiement des volontaires burkinabè en France.
Ces volontaires burkinabè sont de véritables ambassadeurs de leur pays, représentant fièrement le Burkina Faso et partageant leur culture avec les Français qu’ils rencontrent. Ils évoluent dans divers domaines, notamment l’animation, l’éducation, l’agriculture, l’environnement, la culture, la coopération décentralisée et le social, et contribuent ainsi à atteindre les Objectifs de Développement Durable.
Arrivée de Bruno Ouiya, 100ème volontaire burkinabè en réciprocité en France
Bruno Ouiya, le 100ème volontaire burkinabè en réciprocité en France, est arrivé en février 2023 à l’école d’horticulture et de paysage de Roville-Aux-Chênes pour une mission de volontariat en agroécologie. Après avoir travaillé chez Faso Coton au Burkina Faso, ce jeune technicien supérieur en agriculture de 25 ans souhaitait enrichir son expérience en participant à une mission à international.
Bruno découvre encore sa mission ainsi que le village dans lequel il est déployé. Il est ravi de cette opportunité de contribuer au développement de l’agroécologie en France, tout en partageant ses connaissances et en échangeant avec d’autres volontaires internationaux.
Atelier d’échange entre volontaires burkinabè en France
L’arrivée du 100ème volontaire burkinabè en France a été l’occasion pour France Volontaires d’organiser un atelier d’échange avec 18 volontaires burkinabés en Service Civique en France. Les objectifs étaient multiples :
Développer la cohésion de groupe,
Élargir leur réseau,
Et explorer l’interculturalité à travers des témoignages inspirants.
Au cours de cette rencontre, une participante a partagé une citation : “Savoir oser, ne pas avoir peur, aller vers de nouvelles aventures”. Cette phrase reflète parfaitement l’état d’esprit des volontaires engagés dans des missions de Service Civique en France, qui font preuve d’une grande détermination et d’un désir d’apprendre et de découvrir de nouvelles cultures. Ces ateliers d’échange sont des moments privilégiés pour renforcer les liens entre les volontaires et les aider à surmonter les défis auxquels ils peuvent être confrontés.
Le programme national de volontariat du Burkina Faso, en partenariat avec France Volontaires et ses membres, permet de favoriser les échanges et la solidarité entre les sociétés civiles française et burkinabè. L’arrivée du centième volontaire burkinabè en France marque une étape importante dans cette coopération fructueuse.
Retour sur la journée des volontaires de la francophonie
France Volontaires Ghana était associée à cette journée organisée par l’Ambassade de France au Ghana à l’Alliance française d’Accra, en présence de Monsieur Kondo Ayiga, secrétaire des affaires francophones au Ghana, et de Madame Ba, attachée de programme de l’OIF.
L’événement a permis de réunir à Accra l’ensemble des 20 volontaires de l’Organisation Internationale de la Francophonie, habituellement répartis dans l’ensemble du pays.
La journée a débuté par la diffusion en avant-première d’un reportage vidéo réalisé par France Volontaires Ghana sur les actions des volontaires de l’OIF au Ghana ainsi que sur leur parcours de volontaire. Cela a permis à toutes les parties prenantes d’échanger sur les images, avant sa diffusion auprès du grand public. L’objectif de ce reportage, réalisé au moyen de plusieurs interviews de volontaires sur leur terrain, d’interventions auprès du Ministère de l’Education ghanéen à Accra, Cape Coast et Kumasi, est de mettre en valeur les actions réalisées par les volontaires de l’OIF au Ghana et de mieux faire connaître le programme de mobilité.
Enfin, France Volontaires a animé une activité qui nous a permis d’aborder les notions de l’interculturalité ainsi que de la communication et du langage, auxquelles les volontaires font face dans leur volontariat de mobilité internationale pour la francophonie. Cette activité a invité les volontaires à partager leur expérience et a ouvert une discussion sur la multiculturalité vécue au cours de leur mobilité internationale.
La journée s’est conclue par un point du représentant national de France Volontaires au Ghana auprès des volontaires de l’OIF sur les offres du Volontariat International d’Echange et de Solidarité (VIES) ainsi que par la distribution de goodies aux volontaires par l’Ambassade de France au Ghana.
Le Programme de Mobilité des enseignants et formateurs de l’OIF
Le programme de Mobilité des enseignants et formateurs a pour objectif de renforcer la qualité de l’enseignement en français et de contribuer à la création d’un environnement francophone. Ce programme est déployé uniquement à la demande des Etats et gouvernements membres et observateurs de l’OIF, pour lesquels l’organisation assure un rôle d’accompagnement en termes budgétaires et d’expertise. Pour l’instant, ce programme concerne le Rwanda (depuis septembre 2020) et le Ghana (depuis février 2022) uniquement.
Dans le cadre de ce programme de mobilité, des enseignants et formateurs de divers pays membres de la Francophonie sont déployés comme volontaires de l’OIF dans le pays bénéficiaire. Ils perçoivent une indemnité mensuelle de subsistance et disposent d’un contrat de 12 mois, renouvelable une seule fois.
Le dispositif concerne actuellement 50 volontaires de français ressortissants de douze pays de l’espace francophone au Rwanda, et 20 volontaires de français ressortissants de onze pays de l’espace francophone au Ghana, pour 10 000 élèves et enseignants locaux bénéficiaires !
Au Ghana, ces 20 volontaires sont affectés à travers tout le pays pour couvrir les colleges of education (formation initiale des enseignants de français), les centres régionaux pour l’enseignement du français (formation continue des enseignants de français) et les écoles publiques bilingues français-anglais. Après avoir achevé leur première année de mobilité, ils ont tous décidé de poursuivre leur volontariat pour une année supplémentaire au Ghana. Le programme connaît donc de belles perspectives, et sera également déployé dès janvier 2024 aux Seychelles !
Pouvez-vous vous présenter et présenter vos missions ?
Julie : Je m’appelle Julie, j’ai 23 ans et je suis actuellement en service civique pour l’ECAM LaSalle au Cambodge pour 10 mois. L’ECAM LaSalle est une école d’ingénieur française qui a ouvert un diplôme au Cambodge au sein de l’Institut de Technologie du Cambodge (ITC). Cela permet à des étudiants cambodgiens de suivre un double diplôme en anglais et de faire un semestre en France, à Lyon dans les locaux de l’école.
Durant cette année, j’appuie l’équipe sur les activités d’enseignement du français, d’organisation d’activités culturelles mais aussi de développement du réseau de partenariat de l’ECAM Phnom Penh avec les institutions sur place afin de promouvoir la francophonie.
Morgane : Je m’appelle Morgane, j’ai 25 ans, je suis d’origine franco-marocaine et je viens de région parisienne. J’y ai effectué une licence de gestion, puis un premier master en stratégie internationale et enfin un second en management de la RSE. Après l’obtention de mon diplôme, je souhaitais changer d’air et d’horizons. Je me suis intéressée au dispositif du Service Civique et finalement, mon choix s’est porté sur une mission au Cambodge : animer et dynamiser le pôle francophone d’une université. Je suis donc actuellement en soutien à l’Espace francophone de l’Université royale de droit et des sciences économiques (URDSE) de Phnom Penh pendant 9 mois.
Dans le cadre de cette mission, j’organise notamment des évènements autour de la culture francophone et khmère : visites de musées, visite de l’Institut français du Cambodge, projections de films en langues françaises, etc. Je soutiens aussi les étudiants dans leur orientation, notamment pour effectuer des masters en France (préparation aux examens du DELF, candidatures pour les bourses du gouvernement français, pour des masters en France). Enfin, je travaille à faire venir les étudiants dans l’espace francophone de l’URDSE afin de le dynamiser, d’y organiser des activités, de donner envie aux étudiants de discuter en français.
Avec qui travaillez-vous au quotidien ?
M : Au sein de l’URDSE, je travaille avec les étudiants des deux licences francophones d’économie et de droit. Au total, cela concerne près d’une centaine d’étudiants. Les économistes étudient majoritairement en anglais avec néanmoins plusieurs matières en français, tandis que les juristes étudient presque exclusivement en français. Ils ont tous 6h de cours de français par semaine. La plupart d’entre eux entrent en 1ère année de licence avec un niveau débutant. Certains viennent de lycées français, mais cela ne représente qu’une petite minorité. Ainsi, sur la centaine d’étudiants dont je m’occupe, la plupart ont un niveau A1 et A2 en français, une vingtaine ont un niveau B1-B2 et une dizaine d’étudiants sont déjà bilingues français-khmer.
Les étudiants viennent à l’Espace francophone où se trouve mon bureau pour plusieurs raisons : poser leurs affaires, siroter une boisson, faire leurs devoirs, lire un livre, discuter entre eux et/ou avec moi également. Cet espace est en quelque sorte une salle de permanence réservée en priorité aux élèves des filières spéciales d’économie et de droit. Quand les élèves viennent me voir, c’est souvent pour discuter en français de tout et de rien, me poser des questions sur ma journée ou mon week-end, me dire les nouveaux mots qu’ils ont appris.
Je pense que ma présence leur permet d’avoir un rapport moins “scolaire” et plus familier français. Je leur demande de m’appeler par mon prénom (et non “madame”) et j’essaie de créer des liens cordiaux voire amicaux avec eux. En faisant cela, j’espère leur donner envie de venir me parler, de pratiquer et améliorer leur français, de participer aux activités que j’organise et de les motiver à postuler pour les bourses et masters français.
Morgane avec des étudiants à la rentrée des classes à l’Université Royale de Droit et des Sciences Economiques
J : Je travaille principalement avec l’équipe auprès de nos étudiants. Chaque semestre, nous accueillons aussi des Français venus de Lyon en échange à Phnom Penh. Cela favorise les échanges interculturels et renforce indéniablement les liens entre étudiants.
Une partie de ma mission concerne l’enseignement du français car nos étudiants doivent acquérir le niveau B1 durant leur cursus. Je les aide donc en ce sens, avec des exercices et des activités hebdomadaires afin de les préparer du mieux possible. Certains l’ont d’ailleurs déjà atteint ! Nous travaillons aussi sur la communication orale afin de faciliter leur future arrivée en France.
Au-delà de l’aspect « scolaire », j’essaie aussi de leur faire découvrir la francophonie lors d’activités culturelles. Nous nous sommes par exemple rendu plusieurs fois à l’IFC pour découvrir les expositions ou pour se rendre à la médiathèque. Nous avons aussi participé au concours de chanson française organisé par l’IFC, visiter plusieurs musées, ou encore organiser des week-ends ou des repas partagés avec les étudiants français, afin de favoriser les échanges interculturels.
L’ECAM a aussi à cœur l’engagement associatif de ses élèves. C’est pour cela que chaque élève doit réaliser 25h de volontariat durant ses études. Ainsi, nous nous sommes rendus à PSE ou encore à l’ONG Taramana afin d’inciter nos élèves à s’engager. La plupart d’entre eux ont réalisé des missions d’enseignements de l’anglais, ou d’encadrement au sein de ces ONG.
Finalement, ma mission ne se cantonne pas à la salle de classe, mais à une multitude d’activités permettant la découverte de la francophonie.
Les étudiants de Julie visitant une exposition de l’Institut français du Cambodge
Pourquoi avez-vous choisi de vous engager pour la francophonie au Cambodge ?
J : A la fin de mes études, je souhaite devenir professeur, je cherchais donc à découvrir plus concrètement ce milieu lors de mon année de césure. De plus, l’Asie du Sud-Est, et plus particulièrement le Cambodge était une destination qui attisait ma curiosité. J’avais à cœur de découvrir un pays où la culture est très différente de ce que je connaissais jusqu’à présent. Ainsi, cette offre proposée par l’ECAM était une formidable opportunité et m’a permis de m’engager dans la francophonie au Cambodge.
M : J’ai choisi cette mission au Cambodge pour 3 raisons. Premièrement, je souhaitais quitter l’Europe sur une longue durée. Cette mission en Asie du Sud-Est, continent sur lequel je n’avais jamais posé les pieds, me semblait être l’occasion rêvée de sortir de ma zone de confort et découvrir de nouvelles cultures : celle du Cambodge et celles de l’Asie du Sud-Est plus généralement.
Deuxièmement, j’ai choisi cette mission au sein de l’URDSE spécifiquement car j’ai moi-même effectué 5 ans à l’université, dans un cursus de gestion-économie-droit. Je souhaitais donc pouvoir partager mon expérience avec les élèves et les aider dans leur orientation, dans leurs candidatures et dans leurs choix de masters en France.
Enfin, j’avais très envie de partager mes connaissances sur la culture française aux élèves, leur donner envie de s’y intéresser à travers diverses activités (art, cuisine, cinéma, discussions…), les motiver à persévérer en français et à potentiellement étudier en France.
Enfin, qu’espérez-vous retirer de ces expériences ?
M : Je n’avais pas d’attentes spécifiques avant d’arriver au Cambodge, outre l’envie de partir loin de France. Cependant, cette expérience m’a énormément apporté depuis 6 mois. Elle m’a prouvé que j’étais capable de partir seule “à l’autre bout du monde” et que je pouvais me débrouiller seule. Par ailleurs, elle m’a confirmé mon envie de continuer à parcourir le monde et découvrir d’autres continents, pays et cultures, en y restant et en y travaillant sur du long-terme notamment.
J : Cette expérience, est je pense un des plus gros défis que j’ai eu à relever jusqu’à maintenant. Lors de ma mission, je me suis retrouvée pour la première fois face à une vraie classe. Devoir participer à la construction des cours et d’un programme m’a beaucoup appris. Cela n’a fait que renforcer mon désir d’enseigner dans ma vie professionnelle future.
J’ai aussi pu découvrir un pays magnifique, où l’accueil et la gentillesse des Cambodgiens ne cesse de me surprendre. Il est sûr que je retirerai de cette expérience une plus grande ouverture d’esprit, plus de maturité et surtout une réelle capacité d’adaptation. Je pense sincèrement que ces quelques mois au Cambodge m’auront beaucoup plus appris sur moi-même que ces dernières années en France. S’il m’était donné la chance de réitérer une telle expérience, je signerais sans hésiter !
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